dimanche 31 juillet 2022

Incendie dans le Gard : six pompiers blessés dont un grave, l'évolution du feu est "favorable" - franceinfo

Six sapeurs-pompiers ont été blessés dimanche 31 juillet, dans le Gard, dont un grièvement. Le feu a déjà ravagé près de 360 hectares.

Article rédigé par

Radio France

Publié Mis à jour

Temps de lecture : 1 min.

L'incendie qui s'est déclaré ce dimanche 31 juillet aux alentours de 15 heures sur la commune d'Aubais, dans le Gard, évolue "favorablement", indiquent les sapeurs-pompiers du département. Il n'est en revanche toujours pas fixé et 670 pompiers sont déployés cette nuit. Le feu, qui a pris non loin d'une déchèterie dans une forêt de pins et de chênes verts, a déjà ravagé 360 hectares. 

En tout, six pompiers ont été blessés : un blessé grave, évacué en "urgence absolue" au CHU de Montpellier après des brûlures aux mains et au visage ; trois blessés légers et deux pompiers victimes d'un coup de chaleur. Un camion-citerne est partiellement détruit.

>> Suivez en direct l'évolution de l'incendie dans le Gard

La circulation a repris vers 19h45 sur l'autoroute A9, entre Gallargues et Lunel, après avoir été coupée pendant plus de trois heures. Le trafic est revenu à la normale.  Une ligne électrique haute tension a été coupée pour permettre l'action des secours. Un centre équestre a été évacué, ainsi qu'une maison habitée par deux octogénaires. L'incendie est proche de plusieurs villages, dont Aubais, Aigues-Vives et Gallargues.

Une partie du Gard était placé ce dimanche en vigilance "extrême" vis-à-vis du risque incendie.

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samedi 30 juillet 2022

"Depuis le mois de juin, c'est presque tous les jours", près de 9 000 animaux abandonnés dans les refuges SPA - Midi Libre

Les refuges SPA sont saturés cet été. L'association héberge près de 9 000 animaux dans ses refuges, c'est 1 400 de plus que l'année dernière, annonce RTL ce samedi 30 juillet.

De plus en plus d'animaux sont retrouvés abandonnés. La Société Protectrice des Animaux (SPA)  en comptabilise près de 9 000 dans ses refuges à ce stade de l'année, c'est 1 400 de plus que l'année dernière à la même période, rapporte RTL, ce samedi 30 juillet. 

"Ces petits chats ont été trouvés sur la commune de Plaisir, en bordure de champ, à côté de la déchetterie. Ce sont des petits chats lâchement abandonnés", s'est agacé Ninon Rueff, responsable du refuge de Plaisir dans les Yvelines, au micro de RTL. Celle-ci remarque une hausse des abandons des animaux dans son refuge depuis le début de l'été. "Depuis le mois de juin, c'est presque tous les jours, tous les deux jours qu'il faut trouver une famille relais en urgence, parce que le refuge est plein", révèle-t-elle. 

Plus de 100 000 animaux abandonnés en France

Face au manque de places au sein de son refuge SPA, Ninon Rueff explique devoir utiliser "la salle d'attente vétérinaire, la salle de réveil quelques. Malheureusement, on a constamment, plusieurs fois par jours, des demandes d'abandons", constate-t-elle. 

Quelques mois plus tôt, des associations tiraient déjà la sonnette d'alarme. À l'occasion de la journée de lutte mondiale contre l'abandon des animaux de compagnie, samedi 25 juin 2022, Anissa Putois, responsable communication chez Peta France s'adressait à National Géographic. "Selon des estimations, ce serait chaque année plus de 100 000 animaux abandonnés en France, dont 60 000 d’entre eux [délaissés] durant la période estivale", avait-elle souligné. 

L'année 2021 a connu un record d'abandon des animaux, surtout chez les chats et les nouveaux animaux de compagnie, expliquait National Géographic. "Le recueil aurait augmenté de 25 % sur le mois de juin 2021 par rapport à 2019. En cause, les achats irresponsables et impulsifs d’animaux durant les différents confinements, afin de pouvoir sortir ou s’occuper. Une fois la vie normale reprise, les animaux sont abandonnés car ils ont besoin de trop de temps et de ressources", avait déploré Anissa Putois. 

Pour rappel, l'abandon sur la voie publique d'un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité est sévèrement puni par la loi. Les sanctions encourues sont d'une peine passible de 3 ans de prison et de 45 000 € d'amende. 

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Risque élevé d’incendies dans le sud du pays ce week-end, les pompiers en alerte maximum - Ouest-France éditions locales

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  1. Risque élevé d’incendies dans le sud du pays ce week-end, les pompiers en alerte maximum  Ouest-France éditions locales
  2. Incendies : appels à la prudence, «un très fort danger en zone méditerranéenne» ce week-end  Le Parisien
  3. Incendies : moins de vent ce jeudi mais week-end sous surveillance  La Chaîne Météo
  4. Voir la couverture complète sur Google Actualités


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Var : le requin bleu, aperçu à Hyères, retrouvé mort ce samedi - CNEWS

Le requin bleu observé mercredi dernier dans la zone des plages de l'Almanarre à Hyères, dans le Var, a été retrouvé mort ce samedi matin.

Sa présence avait suscité beaucoup d'inquiétude. Sur Twitter, les sapeurs-pompiers du Var avaient alerté les habitants sur la présence d'un requin de deux mètres de longueur. Ce samedi, l'animal à la peau bleue a été retrouvé mort sur la plage d'Hyères.

La dépouille du requin a déjà été évacuée et doit être prise en charge par les services municipaux pour être envoyée à l'équarrissage. Les circonstances de sa mort resteront inconnues puisque l'animal ne sera pas autopsié.

Probablement malade

Les scientifiques avaient pointé ces derniers jours le comportement anormal du requin. Ce dernier semblait être malade. Interrogé par France 3, Nicolas Ziani, responsable scientifique et fondateur du Groupe phocéen d'études des requins, a expliqué que l'animal est «décédé dans la nuit probablement, il a été retrouvé sur les rochers, c'était assez prévisible. Il était un peu plus tranquille hier soir (vendredi, ndlr) mais il continuait à se frotter contre les rochers et à tourner en rond. Si on ne le déplaçait pas... c'était une question d'heures.»

Ce scientifique a également indiqué que le requin aperçu est une femelle en période de reproduction. En effet, ces requins viennent généralement près des côtés pour donner naissance. «Habituellement, elles se mettent à l'abri des prédateurs dans des calanques, des criques, des baies... Celle-ci, n'a pas été discrète !», avait-t-il expliqué, plus tôt dans la semaine.

L'animal a été retrouvé dans le secteur de la plage de Port Hélène, non loin de l'hôpital San Salvadour. Ainsi, les vacanciers peuvent d'ores et déjà rendre leurs quartiers sur cette zone après plusieurs jours d'interdiction.

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Covid-19 : "Jamais je n'aurais cru que la crise durerait aussi longtemps", confie Jean-François Delfraissy, à la veille de la dissolution du Conseil scientifique - franceinfo

Le Covid-19 est "une vraie vacherie, il l'était en 2020, il le reste en 2022 !" Pour le professeur Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique, l'heure est aux confessions, dans un entretien accordé au Parisien (article pour abonnés), samedi 30 juillet, à la veille de la fin de sa mission. Il y détaille ses regrets, mais aussi ses réussites, pendant plus de deux ans et demi de pandémie. Et concède qu'il n'aurait jamais cru que la crise du coronavirus "durerait aussi longtemps".

Après avoir "vécu, pensé, rêvé Covid", le scientifique se dit "soulagé" que sa mission s'achève et ne reviendra pas si on le rappelle. "C'est à d'autres de mener cette aventure", estime-t-il. Après la fin juillet, un comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires, au-delà du Covid-19, doit prendre le relais du Conseil scientifique. "Ce comité sera donc composé de spécialistes de santé humaine, animale, de l'environnement, pour avoir une approche plus large", précise Jean-François Delfraissy. "Je ne me fais pas d'illusions. On aura de nouveaux outils, mais on sera surpris par un nouveau virus qui aura d'autres propriétés", affirme-t-il.

Son "premier regret", qui le suivra "tout au long de [sa] vie" est d'avoir fait passer en juin 2020, lors du déconfinement dans les Ehpad, la "santé avant tout, au détriment, peut-être, d'une forme d'humanité". "Mon deuxième regret, c'est qu'on aurait pu prendre des décisions avec les citoyens", juge-t-il. "On aurait pu, par exemple, interroger les parents sur la réouverture des écoles."

Il regrette par ailleurs que durant cette crise l'Organisation mondiale de la santé (OMS) "n'ait pas pris le pouvoir sur les vaccins". "C'est à elle de guider les industriels et non à eux de dire à quel moment il faut les adapter", estime-t-il, qualifiant de "profonde erreur" ce "manque de vision stratégique et scientifique".

Du côté des "réussites", il se félicite que "l'excès de mortalité en France en 2020 et 2021" soit "bien plus faible que chez nos voisins européens". "Ce qui me rassure, c'est que l'on est revenu au modèle de la recommandation et non plus de l'interdiction", ajoute-t-il. Il juge par exemple "important de continuer à porter le masque à l'hôpital, mais c'est désormais aux Français de choisir".

Evoquant les débuts de la crise du Covid, le professeur Delfraissy déclare avoir eu une "prise de conscience" du sérieux de la situation vers la mi-février 2020 à l'occasion d'une réunion au siège de l'OMS. "On posait plein de questions simples aux Chinois... Et ils répondaient toujours à côté !", se souvient-t-il. Leur ambiguïté lui laisse penser "que la crise était sûrement beaucoup plus grave que ce qu'on croyait". "Mais jamais je n'aurais cru qu'elle durerait si longtemps", ajoute-t-il.

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Homicide par arme blanche à Rennes : deux frères mis en examen et emprisonnés - Le Parisien

Le corps de la victime avait été découvert dans un parc de Rennes (Ille-et-Vilaine). Deux hommes, des frères, ont été mis en examen ce vendredi pour homicide et violences volontaires sur un homme de 31 ans décédé d’un coup de couteau dans la nuit de mardi à mercredi, a-t-on appris du parquet.

Trois frères, gardés à vue depuis 48 heures, ont été déférés au parquet vendredi, le plus jeune né en 1999 a reconnu être l’auteur du coup de couteau, il est actuellement en détention provisoire et mis en examen pour homicide volontaire selon la procureure adjointe Juridictions interrégionales spécialisées (Jirs) de Rennes Flavie Le Sueur.

Le deuxième, né en 1992, a été mis en examen pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner et également placé en détention provisoire. Le troisième frère, né en 1987, a été placé sous le statut de témoin assisté pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner et un quatrième homme est sorti libre de sa garde à vue.

Les causes de la rixe restent inconnues

Toujours selon la même source, la raison de l’altercation n’est à ce jour ni un règlement de comptes, ni le trafic de stupéfiants.

« Le contexte était celui d’une soirée alcoolisée entre membres de la communauté tunisienne, au cours de laquelle une altercation a opposé la victime à un jeune homme qui a appelé ses deux frères arrivés rapidement sur les lieux », indiquait le parquet mercredi. « Un témoin proche de la victime décrit une bagarre au cours de laquelle l’un des individus a frappé mortellement la victime ».

L’autopsie a conclu « à un traumatisme abdominal dû à une plaie donnée avec une arme blanche, ayant vraisemblablement atteint la veine rénale droite, à l’origine d’une hémorragie massive ayant entraîné le décès », selon la même source. Les secours, appelés peu avant minuit, avaient trouvé un homme mortellement blessé au parc des Gayeulles (nord-est de Rennes).

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Un Thalys heurte un animal, le chaos dans les gares devrait se poursuivre ce samedi - La Voix du Nord

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  1. Un Thalys heurte un animal, le chaos dans les gares devrait se poursuivre ce samedi  La Voix du Nord
  2. Thalys : après les grosses perturbations de vendredi, des retards ce samedi et des rames supplémentaires entre Paris, Bruxelles et Amsterdam  franceinfo
  3. Thalys réduit son service cet été après des incidents d’exploitation  20 Minutes
  4. Thalys. Chaos dans les gares après le heurt d'un animal, un samedi qui s'annonce encore compliqué  Ouest-France
  5. Trafic des Thalys interrompu, des kilomètres de bouchons : week-end de chassé-croisé chargé en France  TF1 INFO
  6. Voir la couverture complète sur Google Actualités


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jeudi 28 juillet 2022

Hassan Iquioussen, imam accusé de tenir des « discours haineux » et de développer « des thèses antisémites », va être expulsé, annonce Gérald Darmanin - Le Monde

Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé, jeudi 28 juillet, l’expulsion à venir d’un prédicateur du Nord, Hassan Iquioussen, réputé proche des Frères musulmans, pour des appels à la haine et à la violence, en particulier contre la communauté juive.

Dans un tweet, le ministre de l’intérieur a fait valoir que cette expulsion était justifiée par le fait que « ce prédicateur tient depuis des années un discours haineux à l’encontre des valeurs de la France, contraire à nos principes de laïcité et d’égalité entre les femmes et les hommes ». « Il sera expulsé du territoire français », a écrit M. Darmanin.

« Aujourd’hui, il m’est reproché de tenir des propos discriminatoires voire violents, ce que je conteste avec force. Je fais confiance en la justice (sic) et à mes conseils afin d’annuler cette procédure d’expulsion », a réagi M. Iquioussen dans un post sur Facebook.

L’arrêté d’expulsion pris « dans les prochaines heures »

Prêcheur islamique très actif sur les réseaux sociaux – sa chaîne YouTube est suivie par 169 000 personnes et sa page Facebook compte 42 000 abonnés –, Hassan Iquioussen avait été accusé en 2004 de propos antisémites par le Conseil représentatif des institutions juives de France, qui s’en était ému auprès de l’ex-Union des organisations islamiques de France, maintenant Musulmans de France.

Vivant près de Valenciennes, Hassan Iquioussen avait continué à tenir, selon les éléments recueillis par la préfecture du Nord dont l’Agence France-Presse (AFP) a eu connaissance, des discours « haineux envers les valeurs de la République, dont la laïcité », et « l’égalité entre les femmes et les hommes », et à développer « des thèses antisémites ».

Il lui est reproché aussi d’inciter « à une forme de séparatisme » et d’alimenter « des thèses complotistes autour de l’islamophobie ». Le 22 juin, la commission départementale d’expulsion des étrangers a donné un avis favorable à son expulsion, a affirmé le ministère de l’intérieur à l’AFP : cela confirme l’information du Point. L’arrêté d’expulsion « va être pris dans les prochaines heures », a-t-on ajouté de même source.

« Opportunisme politique », dénonce son avocate

Aucun arrêté n’avait encore été notifié en fin d’après-midi, selon l’avocate de M. Iquioussen, Lucie Simon, qui a fait savoir à l’AFP qu’elle envisageait un référé devant le tribunal administratif de Paris et une saisine de la Cour européenne des droits de l’homme. « La préfecture se base sur des notes blanches, ne rapportant aucun propos récent ni vérifiable, les conférences citées n’ayant pour la plupart pas fait l’objet de captation alors que plus de mille vidéos de lui figurent sur Internet », a-t-elle affirmé.

Elle a mis en avant les « récentes et nombreuses prises de position publiques » de son client « en faveur de la laïcité, de l’égalité hommes-femmes, des valeurs de la République et contre la xénophobie ». S’il « représentait une menace d’une telle gravité pour la France, l’on peut croire que des poursuites judiciaires auraient été diligentées à son endroit, ce qui n’est pas le cas », a-t-elle pointé, dénonçant un « opportunisme politique ». « Nous nous inquiétons qu’en cas de retour au Maroc ses prises de position politiques mettent sa vie en danger », a-t-elle ajouté.

L’expulsion de ce prédicateur, père de cinq enfants majeurs, n’était pas possible avant la loi luttant contre le séparatisme promulguée en août 2021. Né en France, il avait la nationalité française jusqu’à ce qu’elle lui soit retirée à sa majorité. De nationalité marocaine depuis, il avait alors bénéficié de titres de séjour. C’est à la faveur d’une demande de renouvellement de son titre de séjour cet hiver que les autorités françaises ont décidé d’utiliser la loi d’août 2021.

Le Monde avec AFP

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Un député de l'Alsace traité d'« ambassadeur » de l'Allemagne par le RN à l'Assemblée - Le HuffPost

POLITIQUE - Nouveaux échanges houleux à l’Assemblée nationale. Lors des débats sur la présidence française de l’Union européenne ce jeudi 28 juillet, le député alsacien de la majorité présidentielle, Charles Sitzenstuhl, a été qualifié « d’ambassadeur du Bundestag », le Parlement allemand, depuis les bancs du Rassemblement national (RN).

« Je suis un député de l’Assemblée nationale, de nationalité française, pas un représentant du Bundestag ici », a rétorqué Charles Sitzenstuhl, également vice-président commission affaires européennes, déplorant par la suite une « insulte à l’Alsace et à son histoire douloureuse ». L’invective, que l’on peut entendre sur les enregistrements de la séance, est venue des rangs du RN au début de l’intervention de l’élu du Bas-Rhin en tribune.

« En insultant le député alsacien @CSitzenstuhl, ces députés RN insultent à la fois la France et l’Europe. Plein soutien à lui, et honte à eux », a répondu sur Twitter le ministre en charge des Relations avec le parlement, Franck Riester. La cheffe de file des députés LREM à l’Assemblée, Aurore Bergé a, elle, critiqué des « insultes » qui n’ont pas leur place « dans notre pays » et « certainement pas dans notre hémicyle ».

Une remarque « alsaçophobe et europhobe »

Le président de la commission des Affaires étrangères Jean-Louis Bourlanges (MoDem) a fustigé des attaques « absurdes ». « Aux yeux du Rassemblement national, l’Alsace n’est pas française mais allemande », a-t-il ironisé.

« Toujours la même extrême droite rance, alsaçophobe et europhobe. La France mérite mieux », a estimé sur Twitter la députée Renaissance du Haut-Rhin, Brigitte Klinkert. La présidente de séance Naïma Moutchou (Horizons) est aussi intervenue pour rappeler qu’il n’y avait dans l’hémicycle « que des élus français, élus par le peuple français ».

Dans son allocution, Charles Sitzenstuhl a par ailleurs dénoncé les « larmes de crocodile » sur l’Ukraine des responsables du RN Marine Le Pen et de LFI Jean-Luc Mélenchon, qualifiés « d’agents de propagation de la doxa du Kremlin en France ».

Une accusation qui a fait réagir Arnaud Le Gall (LFI), qui a dénoncé une remarque « scandaleuse » contre le leader de La France insoumise, qui n’a selon lui « jamais eu la moindre accointance avec M. Poutine ». L’élu de gauche a voulu faire un parallèle avec l’incident qui venait de se produire : « Ce que vous venez de faire, cher collègue, est lamentable parce que vous avez retourné contre nous l’arme qui vous a été, de manière abjecte, lancée par le Rassemblement national ».

À voir également sur Le HuffPost : La promesse de débats apaisés du RN n’aura pas tenu longtemps

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Canicule : Quatre décès possiblement en lien avec la chaleur, d'après Santé Publique France - 20 Minutes

Vagues de chaleur et canicules se sont succédé ces dernières semaines. L’Hexagone, sous une chape de plomb, a souffert de ces températures torrides et elles pourraient même avoir été meurtrières pour plusieurs travailleurs. Un rapport de Santé publique France annonce que « quatre décès en lien possible avec la chaleur » lui ont été notifiés.

« Ces quatre décès ont eu lieu durant une vigilance canicule orange ou rouge. Un bilan consolidé sera produit dans le bilan publié à la fin de l’été », précise l’agence de santé publique, qui a obtenu ces alertes du système d’inspection du travail. Santé publique France n’a pas donné plus de détails sur la nature de ces décès, leur date précise ou l’identité des victimes. Contacté par l’AFP, le ministère du Travail a indiqué « ne pouvoir faire aucun commentaire » sur ce sujet.

Inquiétude pour les travailleurs

Au cœur d’un été où l’Europe a déjà subi deux périodes de canicule, la Confédération européenne des syndicats (CES) a plaidé lundi pour l’adoption d’une loi qui fixerait une température maximale au travail sur le continent. « Deux travailleurs sont morts d’un coup de chaleur en Espagne la semaine dernière. En France, un pays qui ne plafonne pas les températures au travail, 12 personnes sont mortes d’accidents du travail liés à la chaleur en 2020 », a relevé la CES.

« Même si l’épisode caniculaire prend fin, des épisodes de fortes chaleurs peuvent survenir et il est important pour tous de s’en protéger, sans attendre les premiers signes sur la santé », rappelle Santé publique France. L’agence a promis un « bilan consolidé » des décès en lien avec la chaleur à la fin de l’été.

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mercredi 27 juillet 2022

Incendies en Gironde : "Tout cela a dû passer au barbecue malheureusement..." Que reste-t-il de la faune et la - LaDepeche.fr

l'essentiel Chênes vieux de 300 ans, papillons et lézard protégés, oiseaux, chauves-souris : s'il est trop tôt pour dresser un bilan précis, faune et flore ont payé un lourd tribut dans les incendies de Gironde qui sont désormais "fixés".

Plus de 7 000 ha de forêt ont brûlé à La Teste-de-Buch, près du bassin d'Arcachon, et environ 14 000 ha à Landiras, plus à l'est, dans une monoculture de pins. Chênes vieux de 300 ans, papillons et lézard protégés, oiseaux, chauves-souris... Faune et flore ont payé un lourd tribut dans les incendies de Gironde.

"La faune la plus impactée est celle ayant les moins grandes capacités de déplacement : les insectes non volants, les reptiles et amphibiens et les jeunes aussi bien d'oiseaux que de chauves-souris", alors que les animaux sont en pleine période d'élevage des petits, affirme Paul Tourneur, chef de projet biodiversité à l'Office national des forêts Landes Nord Aquitaine. Les grands ongulés, comme les chevreuils, peuvent fuir plus facilement."

"C'est un patrimoine qu'on ne va pas retrouver du jour au lendemain"

L'Office national des forêts gère la forêt domaniale de La Teste-de-Buch, une des rares forêts naturelles de la région, longeant l'océan. "C'était majoritairement une forêt de pins maritimes, mais avec des spécificités, des îlots de feuillus, de chênes pédonculés et des chênes liège dont certains très vieux, 200 à 300 ans, décrit Paul Tourneur. C'est un patrimoine qu'on ne va pas retrouver du jour au lendemain."

La forêt abrite "une chauve-souris assez rare", la grande noctule, le plus grand chiroptère d'Europe, et "on a des craintes pour la colonie qui était présente", poursuit-il. Cette forêt domaniale abrite aussi "des habitats rares et des espèces inféodées à ces milieux qu'on ne retrouve pas ailleurs", poursuit-il, citant "le pipite rousseline, un oiseau de steppe" ou "le plus grand lézard d'Europe, le lézard ocellé", une espèce protégée. "Tout cela a dû passer au barbecue malheureusement", lâche-t-il, fataliste.

L'association Cistude Nature connaît bien cette forêt et celle de Landiras, aussi dévastée par les flammes. "C'est une monoculture de pins, relativement pauvre en terme de biodiversité, mais elle enclave des milieux naturels, les systèmes lagunaires", dit Maud Berroneau, spécialiste des amphibiens et reptiles.

Y vivent notamment le lézard vivipare ou encore deux espèces de papillons protégés, le fadet des laîches et le damier de la succise. Concernant les lézards, "on espère qu'ils se soient enfouis dans le sol, comme on était déjà dans une période de canicule et de sécheresse depuis plusieurs semaines", indique Maud Berroneau. "Le feu passe plus rapidement sur ces milieux humides, c'est peut-être ça qui va les sauver", espère-t-elle.

Quel avenir pour ces forêts ?

Les papillons, eux, "étaient à l'état de chenilles", selon Akaren Goudiaby, qui suit ces populations d'insectes dans le secteur de Landiras. "On voit très bien sur les photographies aériennes que la zone a brûlé et très probablement, les populations ont disparu", regrette-t-il.

A l'heure où les feux sont maîtrisés, mais pas complètement éteints, se pose la question de l'avenir de ces forêts en Gironde. "Dans un premier temps, nous allons observer ce qui se passe. Le pin est une espèce pionnière, habituée à des sols assez pauvres. Le problème est que le sol a chauffé sur une profondeur de plus d'un mètre", indique Paul Tourneur.

"On se demande si la régénération naturelle va pouvoir se faire. Si ça n'est pas le cas, il va falloir qu'on utilise d'autres outils", poursuit-il. "Les écosystèmes se sont toujours adaptés aux pressions mais c'est la première fois qu'on a un changement aussi rapide avec le changement climatique", relève Loïc Obled, directeur général de l'Office français de la biodiversité. "Si les feux sont récurrents, la capacité de régénération des écosystèmes peut être d'autant plus affectée", prévient-il.

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Crise de l’énergie : les Français sont-ils prêts à revenir aux mesures de sobriété de 1973 ? - Ouest-France

« Ce n’est pas exagérer que de dire que ce choc énergétique de 2022 est comparable en intensité, en brutalité, au choc pétrolier de 1973. » Les mots de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, en mars 2022 résonnent encore plus fortement cet été. Pour faire face à la hausse des coûts de l’énergie, Emmanuel Macron a prévu le déploiement d’un plan de « sobriété énergétique » et la Première ministre Élisabeth Borne a quant à elle appelé à « l’exemplarité » des administrations publiques en termes d’économies d’énergie.

Mais cet appel à une consommation réduite n’est pas nouveau. Dans les années 1970, la France et ses voisins européens avaient mené une « chasse au gaspi » et pris des mesures restrictives pour économiser du pétrole, dont le prix s’envolait du fait du choc pétrolier de 1973.

Réduire la vitesse sur l’autoroute, diminuer son chauffage ou sa climatisation… Les Français sont-ils prêts à changer leurs habitudes à nouveau ? Nous avons posé la question à Anaïs Rocci, sociologue à l’Ademe, un organisme rattaché au ministère de la Transition écologique. Elle travaille sur l’évolution des comportements des Français face au réchauffement climatique, et publie chaque année un baromètre sur cette question.

Lire aussi : Comment les Français ont-ils fait en 1973 pour économiser l’énergie face au choc pétrolier ?

Réduire la vitesse à 110 km/h sur l’autoroute

Dans un décret de 1973, le gouvernement de Pierre Messmer décide de limiter la vitesse sur les routes de France, avec une réduction à 120 km/h au lieu de 130. La vitesse sur les autres routes est aussi ramenée à 90 km/h. Cinquante ans plus tard, les Français sont-ils prêts à aller plus loin ?

« La majorité de la population est contre la réduction de la vitesse sur les autoroutes de 130 à 110 km/h, répond Anaïs Rocci. En 2021, seulement 42 % des Français étaient pour cette idée. C’est une question très liée à l’actualité. Au moment des gilets jaunes, le taux d’approbation était tombé à 37 % », détaille la sociologue.

Alors pourquoi ce blocage ? « Peut-être que les gens se sentiraient limité dans leur conduite », tente d’expliquer Anaïs Rocci. « Ils ont l’impression que ça va leur faire perdre du temps, alors que pas tant que ça. » Réduire sa vitesse permet aussi d’économiser du carburant. « Si on explique aux gens à quoi ça sert, ils comprendront », assure-t-elle.

Lire aussi : Prix des carburants. Pourquoi les aides de l’État bénéficient davantage aux plus aisés

Les politiques ont néanmoins bien compris ce refus de l’opinion. Emmanuel Macron avait rejeté la réduction de la vitesse sur l’autoroute à 110 km/h, une mesure proposée par la Convention citoyenne pour le climat, en 2020. Élisabeth Borne, alors ministre de la Transition écologique, se disait pourtant favorable à cette mesure, « à titre personnel ».

Baisser le chauffage et la climatisation

En 1974, un autre décret instaure une limitation du chauffage à 22 °C maximum dans tous les bâtiments en dehors des habitations. Cinq ans plus tard, la température maximale autorisée pour se chauffer est encore réduite, à 19 °C. Une vaste campagne de communication baptisée la « chasse au gaspi » est menée en parallèle. Elle incitait les Français à lutter contre le gaspillage énergétique.

Un demi-siècle après, le gouvernement français craint un possible manque de gaz et d’électricité cet hiver et appelle d’ores et déjà à la sobriété. Les Français sont-ils à nouveau prêts à faire de petits gestes pour économiser de l’énergie ? « Ils font déjà beaucoup d’efforts, observe Anaïs Rocci. On observe une accélération sur l’engagement individuel, sur les écogestes, qui augmente très fortement ces dernières années, notamment en 2020 et 2021. »

Lire aussi : Baisser la climatisation, éteindre le wifi… Ces « petits gestes » sont-ils vraiment efficaces ?

Grâce aux enquêtes menées par l’Ademe, la sociologue explique que « 62 % des Français déclarent éteindre les appareils électriques qui restent en veille et 70 % d’entre eux baissent la température de son logement de 2 ou 3 degrés l’hiver et limitent la climatisation à 26 degrés en été. » Trois quarts des personnes interrogées indiquent également couper le chauffage en cas de longue absence.

« On peut toujours réduire un peu plus, avance Anaïs Rocci. Mais il faut que ça se fasse au niveau collectif. On ne peut pas dire aux gens de réduire leur clim et leur chauffage, si à côté de ça on laisse tous les bureaux, les panneaux publicitaires et les magasins allumés toute la nuit. Il y a une question de cohérence. »

Le gouvernement souhaite ainsi contraindre les magasins climatisés à ne pas laisser leurs portes ouvertes en laissant échapper l’air frais et généraliser l’interdiction des publicités lumineuses la nuit.

Privilégier le vélo à la voiture

En 1973, le choc pétrolier, qui a touché toute l’Europe, a poussé des pays comme les Pays-Bas, le Danemark, la Suisse et la République Fédérale d’Allemagne a instauré des « dimanches sans voiture ». Les automobilistes de ces pays pouvaient prendre le volant sauf le dimanche. Si la mesure n’a pas été appliquée en France, la mobilité fait aussi partie des domaines où des économies sont possibles.

Selon les chiffres de l’Ademe, l’abandon de la voiture individuelle reste néanmoins plus difficile à envisager pour les Français. « Sur les mobilités, les gens déclarent qu’ils pourront difficilement changer parce qu’il n’y a pas d’infrastructures. On a beau demander aux gens de changer leurs pratiques, si les alternatives ne sont pas offertes derrière, ça va être difficile », raisonne Anaïs Rocci. 40 % des personnes interrogées déclarent toutefois privilégier les déplacements à pied ou à vélo, plutôt qu’en voiture, 34 % pour les déplacements en transports en commun.

Lire aussi : Quatre conseils pour faire des économies d’électricité pendant les vacances

La sociologue note par ailleurs que la population adhère de plus en plus à une hausse des taxes climatiques pour les véhicules polluants ou une taxe carbone. « Depuis 2020, il y a une très forte augmentation de l’adhésion à ces mesures fiscales. Les gens sont prêts à prendre ce type de mesure, à condition que ça ne pénalise pas le pouvoir d’achat des plus modestes et que cet argent soit remis dans la lutte contre le réchauffement climatique », explique Anaïs Rocci, qui note une adhésion « toute catégorie sociale confondue ».

Taxer le transport aérien pour favoriser le train est aussi une idée majoritairement acceptée.

Les Français prêts à des efforts, s’ils sont justement répartis

« Les Français ont vraiment pris conscience du réchauffement climatique et de la nécessité de changer de mode de vie », abonde la chercheuse. 58 % affirment qu’il faudra modifier de façon importante nos modes de vie, d’après l’enquête de l’Ademe.

Pour la sociologue, « il y a une tendance à tout remettre sur la responsabilité individuelle. Mais les Français agissent déjà beaucoup pour consommer moins, choisir des produits avec peu d’emballages, limiter sa consommation de viande. » Des pratiques de plus en plus répandues au fil des années selon l’Ademe.
« Les Français ont conscience qu’il faudra des mesures fortes, et ils sont prêts à les accepter, à condition que ça soit partagé de manière juste. Il faut aussi davantage expliquer les gains collectifs et individuels. Ce besoin d’équité et de transparence est fondamental. »

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Vidéos. Fêtes de Bayonne 2022 : de la Foulée du festayre au lancer des clés, revivez la première journée - Sud Ouest

22 heures : les Fêtes de Bayonne 2022 sont ouvertes

Alors qu’Anne Etchegoyen a entonné “Hegoak” avec la foule, la journaliste et présentatrice Maya Lauqué a également été invitée au balcon. Les rugbymen Guillaume Rouet, Mariano Galarza, Rémy Baget, Mathis Perchaud et le président de l’Aviron Bayonnais Philippe Tayeb faisaient aussi partie des personnalités à jeter les clés du balcon, aux côtés du personnel du médico-social, mobilisé durant la pandémie du Covid. Le pelotari Baptiste Ducassou était aussi au rendez-vous.

Les foulards rouges brandis vers les ciel : la 90e édition des Fêtes est en passe de s’ouvrir.
Les foulards rouges brandis vers les ciel : la 90e édition des Fêtes est en passe de s’ouvrir.

Nicolas Mollo

Alors que le lancer des clés approche, l’ambiance monte avant l’ouverture officielle des Fêtes de Bayonne.Alors que le lancer des clés approche, l’ambiance monte avant l’ouverture officielle des Fêtes de Bayonne.
Alors que le lancer des clés approche, l’ambiance monte avant l’ouverture officielle des Fêtes de Bayonne.Alors que le lancer des clés approche, l’ambiance monte avant l’ouverture officielle des Fêtes de Bayonne.

Emilie Drouinaud

Dès 21 heures : suivez la soirée d’ouverture

L’attente, avant le lancer des clés, place de la mairie.
L’attente, avant le lancer des clés, place de la mairie.

Bertrand Lapègue

Si le lancer des clés est prévu à 22 heures, la soirée d’ouverture débutera avant, et le public s’échauffera avant le lancer des clés, sur le parvis de la mairie. Déjà dans la foule, Anne-Sophie Lapix a été aperçue.

Suivez, sur notre site en vidéo, cette soirée inaugurale des Fêtes de Bayonne 2022.

19 h 15 : les rues de Bayonne en Timelapse

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18 h 50 : l’ambiance monte avant le lancer des clés

Les bords de Nive sont bondés à l’heure de l’apéritif, peu avant 19 heures.
Les bords de Nive sont bondés à l’heure de l’apéritif, peu avant 19 heures.

Victoria Lavelle

La ville commençait à se remplir largement ce mercredi en fin d’après-midi.
La ville commençait à se remplir largement ce mercredi en fin d’après-midi.

Victoria Lavelle

16 h 40 : du monde au balcon

Qui jettera cette année les clés pour l’ouverture des Fêtes de Bayonne 2022 ! ? Deux indices : il y aura des joueurs de rugby de l’Aviron Bayonnais, champions de France de Pro D2, et des personnels du médico-social de la ville, très engagés durant la pandémie. Une autre invitée… du cru, Anne Etchegoyen : elle chantera au balcon de la mairie de Bayonne ! Avant une tournée dans le cadre du Festival des châteaux basques avec Gérard Daguerre, le pianiste de Sylvie Vartan, Charles Aznavour et Barbara accompagné du chœur des Voix basques.

16 h 25 : pas de foulard avant l’heure !

Place Pasteur, c’est déjà l’attroupement devant le Bar du Palais : des groupes se sont formés, en tenue traditionnelle rouge et blanche, foulard autour du cou ! Mais attention, faute de goût : ce n’est pas encore le moment de nouer le foulard autour du cou. Pour le faire, il faudra attendre 22 heures et l’ouverture officielle des Fêtes.

16 h 15 : les rugbymen sont là

Vu, Didier Lacroix, près de la mairie : le président du Stade Toulousain est venu en famille, l’ancien troisième ligne est un habitué des Fêtes de Bayonne ! Plus loin, à l’entrée de la rue d’Espagne, c’est Vincent Etcheto qui payait sa tournée au bar Le Vestiaire. L’entraîneur bayonnais de Soyaux-Angoulême, qui remonte en pro D2, risque de régaler un paquet de monde pendant ces FDB 2022.

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16 h 05 : Musée basque fermé

Pendant les Fêtes de Bayonne, le Musée basque et de l’histoire de Bayonne est fermé au public les vendredi 29, samedi 30 et dimanche 31 juillet. Réouverture le mardi 2 août.

16 heures : en vidéo, les pirogues voguent sur la Nive

Les courses de pirogues sur la Nive se sont élancées vers 16 heures.
Les courses de pirogues sur la Nive se sont élancées vers 16 heures.

Émilie Drouinaud

Midi : les choses sont dites !

« Dans cet appart, que des meufs plus fraîches que vos bières » affiché aux volets bayonnais : il faut avoir de l’humour pendant les Fêtes de Bayonne !
« Dans cet appart, que des meufs plus fraîches que vos bières » affiché aux volets bayonnais : il faut avoir de l’humour pendant les Fêtes de Bayonne !

Émilie Drouinaud/SUD OUEST

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10 heures : l’Indien sur le pont

Géronimo, en roug et blanc, était aux côtés ce matin des coureurs sur le pont… rouge ! L’Indien du BO, alias Robert Rabagny, tenait à marquer son soutien indéfectible aux Fêtes de la ville des Tuniques bleues, même si, cette année, le Biarrot ne sera pas aux commandes de la peña Bayonne plage, car il n’en fait plus partie. Cette peña sera d’ailleurs fermée au public, et ouverte seulement aux membres.

9 h 30 : Pierre Urruty, vainqueur de la 21e Foulée du festayre

Le départ de la course était donné à 9 h 40, à Biarritz, à la Côte des Basques. Plus de 8 000 festayres ont participé à cette course. Pierre Urruty en est sorti vainqueur pour la cinquième fois.

Le coup d’envoi de la Foulée du festayre a été donné à la Côte des Basques, à Biarritz.
Le coup d’envoi de la Foulée du festayre a été donné à la Côte des Basques, à Biarritz.

Bertrand Lapègue/SUD OUEST

Les plus beaux déguisements étaient de sortie.
Les plus beaux déguisements étaient de sortie.

Bertrand Lapègue/SUD OUEST

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Crise de l'énergie : les Français sont-ils prêts à revenir aux mesures de sobriété de 1973 ? - Ouest-France

« Ce n’est pas exagérer que de dire que ce choc énergétique de 2022 est comparable en intensité, en brutalité, au choc pétrolier de 1973. » Les mots de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, en mars 2022 résonnent encore plus fortement cet été. Pour faire face à la hausse des coûts de l’énergie, Emmanuel Macron a prévu le déploiement d’un plan de « sobriété énergétique » et la Première ministre Élisabeth Borne a quant à elle appelé à « l’exemplarité » des administrations publiques en termes d’économies d’énergie.

Mais cet appel à une consommation réduite n’est pas nouveau. Dans les années 1970, la France et ses voisins européens avaient mené une « chasse au gaspi » et pris des mesures restrictives pour économiser du pétrole, dont le prix s’envolait du fait du choc pétrolier de 1973.

Réduire la vitesse sur l’autoroute, diminuer son chauffage ou sa climatisation… Les Français sont-ils prêts à changer leurs habitudes à nouveau ? Nous avons posé la question à Anaïs Rocci, sociologue à l’Ademe, un organisme rattaché au ministère de la Transition écologique. Elle travaille sur l’évolution des comportements des Français face au réchauffement climatique, et publie chaque année un baromètre sur cette question.

Lire aussi : Comment les Français ont-ils fait en 1973 pour économiser l’énergie face au choc pétrolier ?

Réduire la vitesse à 110 km/h sur l’autoroute

Dans un décret de 1973, le gouvernement de Pierre Messmer décide de limiter la vitesse sur les routes de France, avec une réduction à 120 km/h au lieu de 130. La vitesse sur les autres routes est aussi ramenée à 90 km/h. Cinquante ans plus tard, les Français sont-ils prêts à aller plus loin ?

« La majorité de la population est contre la réduction de la vitesse sur les autoroutes de 130 à 110 km/h, répond Anaïs Rocci. En 2021, seulement 42 % des Français étaient pour cette idée. C’est une question très liée à l’actualité. Au moment des gilets jaunes, le taux d’approbation était tombé à 37 % », détaille la sociologue.

Alors pourquoi ce blocage ? « Peut-être que les gens se sentiraient limité dans leur conduite », tente d’expliquer Anaïs Rocci. « Ils ont l’impression que ça va leur faire perdre du temps, alors que pas tant que ça. » Réduire sa vitesse permet aussi d’économiser du carburant. « Si on explique aux gens à quoi ça sert, ils comprendront », assure-t-elle.

Lire aussi : Prix des carburants. Pourquoi les aides de l’État bénéficient davantage aux plus aisés

Les politiques ont néanmoins bien compris ce refus de l’opinion. Emmanuel Macron avait rejeté la réduction de la vitesse sur l’autoroute à 110 km/h, une mesure proposée par la Convention citoyenne pour le climat, en 2020. Élisabeth Borne, alors ministre de la Transition écologique, se disait pourtant favorable à cette mesure, « à titre personnel ».

Baisser le chauffage et la climatisation

En 1974, un autre décret instaure une limitation du chauffage à 22 °C maximum dans tous les bâtiments en dehors des habitations. Cinq ans plus tard, la température maximale autorisée pour se chauffer est encore réduite, à 19 °C. Une vaste campagne de communication baptisée la « chasse au gaspi » est menée en parallèle. Elle incitait les Français à lutter contre le gaspillage énergétique.

Un demi-siècle après, le gouvernement français craint un possible manque de gaz et d’électricité cet hiver et appelle d’ores et déjà à la sobriété. Les Français sont-ils à nouveau prêts à faire de petits gestes pour économiser de l’énergie ? « Ils font déjà beaucoup d’efforts, observe Anaïs Rocci. On observe une accélération sur l’engagement individuel, sur les écogestes, qui augmente très fortement ces dernières années, notamment en 2020 et 2021. »

Lire aussi : Baisser la climatisation, éteindre le wifi… Ces « petits gestes » sont-ils vraiment efficaces ?

Grâce aux enquêtes menées par l’Ademe, la sociologue explique que « 62 % des Français déclarent éteindre les appareils électriques qui restent en veille et 70 % d’entre eux baissent la température de son logement de 2 ou 3 degrés l’hiver et limitent la climatisation à 26 degrés en été. » Trois quarts des personnes interrogées indiquent également couper le chauffage en cas de longue absence.

« On peut toujours réduire un peu plus, avance Anaïs Rocci. Mais il faut que ça se fasse au niveau collectif. On ne peut pas dire aux gens de réduire leur clim et leur chauffage, si à côté de ça on laisse tous les bureaux, les panneaux publicitaires et les magasins allumés toute la nuit. Il y a une question de cohérence. »

Le gouvernement souhaite ainsi contraindre les magasins climatisés à ne pas laisser leurs portes ouvertes en laissant échapper l’air frais et généraliser l’interdiction des publicités lumineuses la nuit.

Privilégier le vélo à la voiture

En 1973, le choc pétrolier, qui a touché toute l’Europe, a poussé des pays comme les Pays-Bas, le Danemark, la Suisse et la République Fédérale d’Allemagne a instauré des « dimanches sans voiture ». Les automobilistes de ces pays pouvaient prendre le volant sauf le dimanche. Si la mesure n’a pas été appliquée en France, la mobilité fait aussi partie des domaines où des économies sont possibles.

Selon les chiffres de l’Ademe, l’abandon de la voiture individuelle reste néanmoins plus difficile à envisager pour les Français. « Sur les mobilités, les gens déclarent qu’ils pourront difficilement changer parce qu’il n’y a pas d’infrastructures. On a beau demander aux gens de changer leurs pratiques, si les alternatives ne sont pas offertes derrière, ça va être difficile », raisonne Anaïs Rocci. 40 % des personnes interrogées déclarent toutefois privilégier les déplacements à pied ou à vélo, plutôt qu’en voiture, 34 % pour les déplacements en transports en commun.

Lire aussi : Quatre conseils pour faire des économies d’électricité pendant les vacances

La sociologue note par ailleurs que la population adhère de plus en plus à une hausse des taxes climatiques pour les véhicules polluants ou une taxe carbone. « Depuis 2020, il y a une très forte augmentation de l’adhésion à ces mesures fiscales. Les gens sont prêts à prendre ce type de mesure, à condition que ça ne pénalise pas le pouvoir d’achat des plus modestes et que cet argent soit remis dans la lutte contre le réchauffement climatique », explique Anaïs Rocci, qui note une adhésion « toute catégorie sociale confondue ».

Taxer le transport aérien pour favoriser le train est aussi une idée majoritairement acceptée.

Les Français prêts à des efforts, s’ils sont justement répartis

« Les Français ont vraiment pris conscience du réchauffement climatique et de la nécessité de changer de mode de vie », abonde la chercheuse. 58 % affirment qu’il faudra modifier de façon importante nos modes de vie, d’après l’enquête de l’Ademe.

Pour la sociologue, « il y a une tendance à tout remettre sur la responsabilité individuelle. Mais les Français agissent déjà beaucoup pour consommer moins, choisir des produits avec peu d’emballages, limiter sa consommation de viande. » Des pratiques de plus en plus répandues au fil des années selon l’Ademe.
« Les Français ont conscience qu’il faudra des mesures fortes, et ils sont prêts à les accepter, à condition que ça soit partagé de manière juste. Il faut aussi davantage expliquer les gains collectifs et individuels. Ce besoin d’équité et de transparence est fondamental. »

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lundi 25 juillet 2022

Températures extrêmes : une vague de chaleur jusqu'en octobre, des épisodes méditerranéens plus sévères... pou - L'Indépendant

Les experts météorologiques espagnols prédisent que les vagues de chaleur se poursuivront cette année au-delà de l'été, jusqu'en octobre. 

L'AEMET l'agence météorologique espagnole, a averti que les vagues de chaleur en Espagne pourraient être persistantes pendant tout l'été et durer jusqu'en octobre. Les mois à venir vont être très secs et le risque de précipitation est très faible, sauf sur la côte méditerranéenne.

Jusqu'à cinq degrés au-dessus des valeurs habituelles en ce moment

Cette anomalie est due, entre autres, aux températures élevées de la mer Méditerranée, avec des records exceptionnels relevés dans les stations météo marines. Dans de vastes zones de la Méditerranée occidentale, les températures sont déjà jusqu'à cinq degrés au-dessus des valeurs habituelles pour la seconde quinzaine de juillet.

Et cette hausse des températures de l'eau n'est pas terminée. avec le risque d'une augmentation considérable des températures minimales dans les prochaines semaines, en particulier dans les zones proches de la Méditerranée, ainsi qu'une plus grande humidité.

d'autre part, selon le site météorologique Météo-Paris, les eaux anormalement chaudes de la Méditerranée en cette année 2022 sont susceptibles de renforcer l'intensité de ces épisodes. En effet, plus l'eau de mer est chaude et plus l'air qui la surplombe peut se charger en humidité. Il existe donc un risque de rencontrer des épisodes méditerranéens particulièrement actifs à l'automne. Cependant, rappelons qu'il est nécessaire qu'un contexte dépressionnaire se mette en place pour déclencher un épisode méditerranéen.

Ainsi les spécialistes prédisent aussi que les phénomènes de goutte froide puisse se produire plus souvent avec des épisodes de pluies très intenses car la température élevée de la mer provoquerait la formation de nuages ​​"très énergétiques".

Des vagues de chaleur jusqu'en octobre confirmées également par le porte-parole de l'AEMET l'agence météorologique espagnole, Cayetano Torres . "Il y a une très forte probabilité que ce soit le cas. Les prévisions suggèrent que des températures élevées seront également enregistrées en octobre."

Plus inquiétant, il y a très peu de risque de précipitations, excepté le long du littoral méditerranéen, où le niveau de précipitations habituel est attendu. "Ce sont de mauvaises nouvelles car nous continuerons d'être à risque d'incendies. Nous nous attendons à un temps sec ou très sec dans pratiquement toute l'Espagne", poursuit le porte-parole de l'AEMET.

AEMET_Madrid: Pronóstico de anomalía térmica para el resto del verano. Menos mal que nos queda Portugal. pic.twitter.com/N0m0687nYo

— MeteoEnsanche #EnsancheSur #Alcorcón\u26a0\ufe0f (@EnsancheMeteo) July 25, 2022

D'autre part, les températures attendues pour les prochains jours sont très similaires à celles qui ont été enregistrées la semaine dernière, avec des maximums supérieurs à 40 ° C et des niveaux d'alerte orange sont décrétés dans des zones telles que le centre et la moitié sud de la péninsule.

À Madrid, toujours selon l'Agence météorologique nationale, des températures maximales de 39 ° C sont attendues d'ici la fin de cette semaine, avec des températures minimales qui ne descendront pas en dessous de 22 ° C. Des températures plus élevées encore sont attendues à Séville, avec des records pouvant atteindre 44°C dimanche prochain. Dans d'autres provinces comme Badajoz ou Córdoba, le maximum de 41°C sera également dépassé.

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Loi immigration : le président des Républicains dénonce "un hold-up démocratique" du Conseil constitutionnel - franceinfo

>> Ce direct est désormais terminé. La droite gronde. Le président des Républicains Éric Ciotti a dénoncé vendredi 26 janvier "...