Retrouvez ici l'intégralité de notre live #POLITIQUE
17h20 : Fabrice Schlegel a ensuite été interviewé par la chaîne franceinfo. "Il est là juste pour la communication", a alors réagi cet ex-représentant des "gilets jaunes" après son échange avec Emmanuel Macron. "Il a été charmant, il a fait ce qu'il sait faire de mieux, c'est-à-dire : il a endormi tout le monde", a-t-il ajouté.
16h30 : Nous vous parlions tout à l'heure de l'interpellation d'Emmanuel Macron lors de son déplacement à Dole, dans le Jura, au sujet des salaires de PDG. Le chef de l'Etat a également été interpellé vivement par un ancien représentant local des "gilets jaunes", Fabrice Schlegel, sur le "déficit colossal". Il lui reproche pêle-mêle d'avoir "tué la fonction hospitalière, la médecine de proximité". "Vous nous enfumez depuis cinq ans".
15h50 : C’était une promesse d’Emmanuel Macron, confirmée ce matin par Élisabeth Borne : certains foyers pourront déposer une demande pour posséder une véhicule électrique à tarif préférentiel, voire "à 100 euros par mois". France 2 vous explique le processus plus en détail.
15h37 : Bonjour @Jean ! Effectivement, face aux déplacements des membres du gouvernements chahutés ces derniers jours, Matignon demande aux ministres de ne maintenir que les déplacements "utiles", tout en restant présents sur le terrain, explique Audrey Tison dans Le brief politique. L'exécutif assure s'inquiéter notamment de la fatigue des forces de l'ordre mobilisées pour la sécurisation.
15h36 : Matignon demande aux ministres de ne maintenir que les déplacements "utiles" face à la multiplication des comités d'accueil et concerts de casseroles (France Info) #casserolades #IntervillesMacron
15h28 : Ils sont quelques centaines devant les locaux du @Prefet76 à manifester, lors de la venue du ministre @MFesneau à #Rouen.
#ReformeDesRetraites #100JoursDeCasseroles https://t.co/bheNcZt9jE
15h28 : Même son de cloche pour Marc Fesneau, ministre de l'Agriculture, en déplacement à Rouen, en Seine-Maritime pour discuter du projet de loi sur la formation et l'installation des agriculteurs, et accueilli par plusieurs manifestants.
15h18 : Dussopt chahuté à Toulon https://t.co/VNzUef0lEv
15h19 : Le ministre du Travail, OIivier Dussopt, est à Toulon cet après-midi, dans le Var, pour aborder les accidents du travail. Il est accueilli par des manifestants. La branche du syndicat FSU PACA, opposée à la réforme des retraites, a publié une vidéo sur Twitter.
(CHRISTOPHE SIMON / AFP)
14h52 : Emmanuel Macron s'est exprimé au château de Joux, dans le Doubs, pour marquer le 175e anniversaire de l'abolition de l'esclavage en France. Il a rendu hommage à Toussaint Louverture, héros de la lutte contre l'esclavage mort dans une forteresse de Franche-Comté en avril 1803. Retrouvez ici son discours en intégralité.
14h16 : "Toussaint Louverture avait compris que la seule insoumission était vaine (...) La révolution plutôt que l'insurrection, la liberté plutôt que la destruction, l'ordre au-dessus du chaos".
14h15 : "Cette liberté seulement octroyée ne lui suffisait pas (...) il voulait prendre l'esprit de 1789 au mot".
14h15 : "Toussaint Louverture était l'homme de toutes les libertés, de toute la liberté."
14h08 : Emmanuel Macron s'est exprimé depuis le Doubs pour rendre hommage à Toussaint Louverture, "inlassable combattant" pour la liberté, héros de la lutte contre l'esclavage, au château de Joux dans le Doubs où le général franco-haïtien a été emprisonné jusqu'à sa mort. Il salue "un extraordinaire parcours tout entier tourné contre l'assignation à laquelle sa naissance le vouait".
(CAPTURE D'ECRAN / FRANCE TELEVISIONS)
14h12 : Interpellé sur le salaire des PDG en fin de matinée par un habitant, sur le marché de Dole (Jura), Emmanuel Macron a assuré être, lui aussi, "choqué". "Ça choque tout le monde, moi aussi ça me choque", lui a-t-il répondu. "Ne me dites pas que dans un Etat de droit, vous ne pouvez rien faire", lui a alors rétorqué l'homme avec lequel il conversait. Le chef de l'Etat a assuré que "les patrons, dans le secteur public, depuis des années, sont limités dans leur rémunération". Mais, a-t-il ajouté, ce sont "les actionnaires" qui décident du salaire des patrons du secteur privé.
13h01 : Les manifestants attendent de pied ferme le Président de la République. https://t.co/XgVqXe8Qcb
13h00 : Quelques manifestants se déplacent désormais sur la route d’à côté pour bloquer les automobilistes en espérant ralentir le passage du Président Emmanuel Macron. https://t.co/SVWKawNx1A
14h13 : En déplacement à l'occasion du 175e anniversaire de l'abolition de l'esclavage, l'hélicoptère du président est arrivé sur le terrain de football de La Cluse-et-Mijoux (Doubs), constatent nos journalistes de France 3 Bourgogne-Franche-Comté. Une quinzaine d'habitants du village l'attendent sur place. Des manifestants sont également à quelques kilomètres de-là, bloqués sur la nationale 57, entre Pontarlier et La Cluse-et-Mijoux.
12h05 : Pendant qu'Emmanuel Macron s'offre un bain de foule dans le Jura, des tensions sont rapportées entre les manifestants et les forces de l'ordre dans le Doubs, où doit se rendre le chef de l'Etat. Notre journaliste Naoufel El Khaouafi se trouve sur place.
(FRANCEINFO)
11h48 : Emmanuel Macron a improvisé une visite à Dole, dans le Jura, avant son déplacement dans le Doubs. Il échange avec les habitants sur un marché. "Il faut faire des réformes, même si elles sont impopulaires", défend le chef de l'Etat.
10h59 : "Depuis 2000, la totalité des mesures salariales prises à l'endroit des enseignants du secondaire a donc consisté, non pas en une revalorisation, mais en une limitation de la chute de leur pouvoir d’achat."
12h08 : Le collectif s'est aussi penché sur l'évolution du pouvoir d'achat des professeurs depuis le début des années 2000. Il rapporte une baisse significative de ce pouvoir d'achat, liée à une "sous-indexation du point d'indice de la fonction publique". Cela aurait causé des pertes cumulées comprises entre 18 000 euros, pour un professeur ayant commencé sa carrière en 2016, et 70 000 euros, pour un professeur exerçant depuis l'année 2000.
12h09 : Le gouvernement a annoncé une hausse de la rémunération des enseignants à la rentrée. Mais le collectif Nos services publics a calculé que "70% des enseignants du secondaire verront leur pouvoir d’achat diminuer en décembre 2023 par rapport à décembre 2022". En cause : l'inflation, plus forte que les revalorisations prévues. "Les mesures annoncées ne feront progresser le pouvoir d’achat que pour 30% des professeurs les plus jeunes", explique le collectif.
10h36 : Emmanuel Macron doit arriver en fin de matinée dans le Doubs, pour participer à une cérémonie d'hommage à Toussaint Louverture à l'occasion du 175e anniversaire de l'abolition de l'esclavage en France. France 3 Bourgogne-Franche-Comté vous raconte pourquoi ce héros de l'indépendance haïtienne a été emprisonné au Château de Joux.
12h11 : L'arrêté interdisant de manifester dans le Doubs, avant la visite d'Emmanuel Macron au château de Joux, a été retiré, selon nos collègues de France 3 Bourgogne-Franche-Comté. Trois recours en référé avaient été déposés devant le tribunal, dont un par la Ligue des droits de l'homme.
09h47 : Mme #Borne confirme sa volonté de taper sur les bénéficiaires du RSA, coupables d’une présomption de paresse, et les citoyens d’origine maghrébine, coupables d’une présomption de fraude.Ou comment gouverner par la stigmatisation et le racisme…#Les4V
09h59 : Elisabeth Borne "confirme sa volonté de taper sur les bénéficiaires du RSA, coupables d’une présomption de paresse", fustige la députée "insoumise" Nadège Abomangoli sur Twitter, après l'interview de la Première ministre sur France 2.
09h59 : Bonjour @Précision, merci pour votre question. Les heures "d'insertion", selon les mots du gouvernement, qui pourraient conditionner le RSA seraient de 15 à 20 heures par semaine. Vous trouverez plus de détails dans cet article.
09h44 : Les 15 à 20 heures travaillées pour le RSA c'est par semaine ou par mois ?
09h44 : 🗣 Education ➡️ "Les enseignants, il faut plus les payer !", plaide le député insoumis. “Et il faut mieux les payer en salaire”, insiste Eric Coquerel, qui déplore le recours aux primes et la conditionnalité de certaines d'entre elles à des heures en plus https://t.co/THGX508TLI
12h14 : Eric Coquerel était ce matin l'invité de la matinale de franceinfo. Le député LFI a notamment parlé des augmentations promises aux enseignants par l'exécutif, qui se feront sous la forme de primes. "Il faut mieux les payer en salaire", estime-t-il.
12h16 : Le smic est revalorisé "selon trois modalités", explique le site vie-publique.fr. Il est, en effet, revalorisé automatiquement chaque 1er janvier. Mais une revalorisation peut également être décidée par le gouvernement. Enfin, une revalorisaton peut avoir lieu "en cours d'année si l'indice des prix à la consommation augmente d'au moins 2% par rapport à l'indice constaté lors de la dernière évolution du montant du smic".
09h24 : Bonjour merci pour votre question. Vous faites référence au à l'annonce d'Elisabeth Borne d'une revalorisation du smic le 1er mai à 2,19%.
12h19 : Bonjour franceinfo, l'augmentation du smic n'est-elle pas automatique et non pas le fait du gouvernement ?
09h30 : Vous avez mis le désordre avec vos propositions ! Assez, ne cherchez pas à détourner l’attention des travailleurs
09h19 : Un grand délire verbal, rien à retenir.
09h19 : Ce n'est pas qu'elle n'y croit plus, c'est qu'elle veut être plus apaisée que certaines personnes exaltées, prendre du recul, pour avoir une concertation efficace et faire adopter des textes bien étudiés !
12h19 : Eh bien, moi je l'ai trouvée bien, notre Première ministre. Claire et investie.
09h19 : Bonjour , personne ne veut du SNU, ce serait encore une provocation qui ne passerait pas. Bonne journée FI.
09h18 : On attend l'abrogation de la réforme des retraites.
09h18 : Vous réagissez, vous aussi, dans les commentaires de ce live à l'interview d'Elisabeth Borne ce matin dans l'émission "Les 4 Vérités".
09h10 : Emmanuel Macron sera aussi sur le terrain. Le président se rend au château de Joux (Doubs) pour un hommage à Toussaint Louverture, à l'occasion du 175e anniversaire de l'abolition de l'esclavage en France.
09h12 : Vous allez entendre d'autres membres de l'exécutif s'exprimer aujourd'hui (et, peut-être, être accueillis par des "casserolades"). Marc Fesneau se rend en Seine-Maritime pour discuter du projet de loi sur la formation et l'installation des agriculteurs. Le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, va dans les Pyrénées-Orientales pour parler de la sécheresse. Olivier Dussopt sera, lui, à Toulon, pour un déplacement sur la question des accidents du travail.
08h48 : Sur franceinfo, le député La France insoumise Eric Coquerel fustige "une série d'annonces recyclées", déplorant une "communication" visant à montrer "que la réforme des retraites, c'est derrière".
10h59 : "Ce qui m'a frappé dans l'intervention d'Elisabeth Borne, c'est qu'au fond, on a le sentiment qu'elle n'y croit plus".
Interrogé sur France Inter ce matin, le député classé à droite donne son sentiment sur le discours d'Elisabeth Borne hier.
08h48 : Parallèlement à l'interview d'Elisabeth Borne sur France 2, des personnalités politiques réagissent dans d'autres matinales à son discours, hier, de présentation de la "feuille de route" gouvernementale pour les "100 jours" de relance du quinquennat décrété par Emmanuel Macron.
08h41 : Voici l'extrait complet du passage de l'interview où Elisabeth Borne parle de l'inflation. "On attend des industriels qu'ils puissent répercuter les baisses des matières premières dans les prix qu'ils proposent à la grande distribution. (...) On demande de rouvrir des négociations", a-t-elle insisté.
(FRANCE 2)
08h25 : L'interview se termine, et Elisabeth Borne affirme avoir la confiance d'Emmanuel Macron. "On vous souhaite quoi alors ?", lui demande Thomas Sotto. "Peut-être de l'énergie, mais je pense que je n'en manque pas", répond la Première ministre. Son intervention sur France 2 est maintenant terminée.
08h23 : "Quand on a une majorité relative, ça demande aussi de savoir trouver des compromis et c'est ce à quoi je m'emploie."
08h23 : Le poste de Première ministre "est évidemment une fonction qui est très exigeante". "Mais notre pays traverse aussi des crises multiples, concède Elisabeth Borne. Il y a beaucoup d'attentes et moi, je peux vous assurer que je mobilise toute mon énergie pour répondre à ces attentes."
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