vendredi 26 janvier 2024

Loi immigration : le président des Républicains dénonce "un hold-up démocratique" du Conseil constitutionnel - franceinfo

>> Ce direct est désormais terminé.

La droite gronde. Le président des Républicains Éric Ciotti a dénoncé vendredi 26 janvier "un hold-up démocratique" du Conseil constitutionnel qui, en censurant pour des raisons de forme une large partie de la loi immigration, "prive le peuple français de sa souveraineté". Qualifiant cette décision de "scandaleuse", Eric Ciotti a également accusé sur RMC le président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius de "collusion" avec Emmanuel Macron.

"Pas d'échec" pour la majorité. La décision du Conseil constitutionnel de censurer très largement la loi immigration "n'est certainement pas" un échec pour la majorité présidentielle, a soutenu Yaël Braun-Pivet, la présidente de l'Assemblée nationale, au micro de France Bleu.

Une "tache indélébile" pour la gauche. Les coups de ciseaux du Conseil constitutionnel ont été accueillis avec "satisfaction" à gauche de l'échiquier politique, même si "le gouvernement portera comme une tache indélébile l'appel à voter" le texte, a réagi le socialiste Olivier Faure.

Une promulgation rapide à venir. Emmanuel Macron a demandé à Gérald Darmanin de "tout mettre en œuvre pour que la loi soit appliquée dans les meilleurs délais". Le chef de l'Etat promulguera le texte "dans les heures qui viennent", a annoncé le ministre de l'Intérieur sur TF1.

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Paris : une enquête ouverte après un home-jacking chez le chef Jean-François Piège - franceinfo

Des individus s'en sont pris à la nourrice présente au domicile parisien du chef avant de repartir avec un butin estimé à 150 000 euros.

Radio France

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Le chef du Grand Restaurant, Jean-François Piège, le 4 mai 2023. (JOEL SAGET / AFP)

Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour vol à main armée vendredi 26 jenvier après un home-jacking survenu vendredi matin au domicile du chef Jean-François Piège, a appris franceinfo auprès du parquet de Paris.

Des individus s'en sont pris à la nourrice présente au domicile du chef, avant de repartir avec un butin dont la première estimation est d'environ 150 000 euros. La nourrice a été ligotée, a appris franceinfo confirmant une information de BFM. Le premier district de police judiciaire est chargé des investigations.

Jean-François Piège est chef au Grand Restaurant, un établissement chic de la capitale. Les home-jackings sont des cambiolages effectués en présence des victimes et visent régulièrement des célébrités.

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Valenciennois : un automobiliste a forcé le barrage des agriculteurs sur l'A2 - La Voix du Nord

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  1. Valenciennois : un automobiliste a forcé le barrage des agriculteurs sur l'A2  La Voix du Nord
  2. Des ronds-points de nouveau bloqués par les agriculteurs à Abbeville  actu.fr
  3. Les agriculteurs toujours en place à Feignies et route de Valenciennes à Maubeuge, des barrages à Avesnes  La Voix du Nord
  4. Circulation à Avesnes-sur-Helpe (59), on fait le point   L'Observateur
  5. Nord (59): pourquoi Damien, agriculteur, s'est mobilisé ce jeudi   L'Observateur


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jeudi 25 janvier 2024

L'ancienne ministre Marlène Schiappa reprend ses études - Le Parisien

Des nouvelles de Marlène Schiappa. L’ancienne secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale et solidaire dans le gouvernement Borne a fait savoir sur son compte LinkedIn mercredi qu’elle poursuit ses études et vient de s’inscrire à l’EM Lyon Business school. « J’ai toujours eu la conviction qu’il fallait se former tout au long de sa vie. Les savoirs évoluent, la théorie aussi, les enjeux varient, et avoir été formé il y a 10, 20, 30 ans dans un domaine donné ne devrait plus aujourd’hui être considéré comme suffisant », se justifie l’ancienne ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, chargée de la Citoyenneté.

Marlène Schiappa indique également qu’elle avait cherché à se former « en cachette » à la géopolitique alors qu’elle était encore au gouvernement car « un journaliste avait entendu parler de mon projet et avait menacé de publier un article sur le fait que se former, c’était forcément un aveu d’incompétence sur le sujet... » Une façon de voir les choses que critique l’ancienne secrétaire d’État chargée de l’Égalité femmes-hommes. Rappelant au passage l’exemple de l’ancien ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari, « critiqué pour avoir entamé un MBA... ». « L’on aurait du au contraire saluer la démarche, non ? » interroge Marlène Schiappa.

L’ancienne ministre semble s’être éloignée de la politique et se définit désormais comme « romancière, scénariste, documentariste ».

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mercredi 24 janvier 2024

Agricultrice et sa fille tuées en Ariège : pourquoi la voiture folle, déjà repérée sur cette route, roulait-elle si vite vers l'Andorre ? - LaDepeche.fr

l'essentiel La BMW bleue qui a mortellement fauché l’agricultrice Alexandra Sonac et sa fille de 12 ans, sur un barrage agricole, mardi matin à Pamiers, avait déjà attiré l’attention des forces de l’ordre lors d’allers-retours en direction de l’autre côté des Pyrénées.

Au lendemain du drame de la route qui a conduit à la mort de l’agricultrice Alexandra Sonac, 36 ans et de sa fille Camille, 12 ans, toutes les deux fauchées sur un barrage agricole, à Pamiers, l’enquête avance pas à pas. Placés en garde à vue quelques heures après l’accident mortel, les trois occupants de la BMW sont toujours entendus par les policiers de Pamiers. S’ils ont reconnu avoir contourné le dispositif de sécurité pour emprunter la RN 20, en direction de Foix, avant l’accident fatal, ils restent plus discrets sur les raisons de leur déplacement, à 5h40, ce mardi 23 janvier.

A lire aussi : Agricultrice et sa fille tuées en Ariège : une marche blanche organisée à Pamiers pour leur rendre hommage

Dans un communiqué, paru ce mercredi matin 24 janvier, le parquet de Foix a indiqué que les occupants de la voiture, d’origine arménienne et domiciliés à Pamiers, devaient se rendre "chez une connaissance domiciliée, elle aussi, en Ariège". Sans davantage de précisions. Selon nos informations, la voiture utilisée ce matin-là avait déjà été repérée sur des trajets entre l’Andorre et Pamiers, ces dernières semaines.

Pas de réseau de contrebande

Un ou plusieurs de ses occupants avaient l’habitude d’acheter des cigarettes détaxées de l’autre côté des Pyrénées, sans pour autant faire partie d’un réseau de contrebande identifié. Le prix du tabac demeure très avantageux en Andorre puisque la cartouche de cigarettes s’achète environ 40 euros, contre 120 euros en France. Une attractivité qui pousse de nombreux contrebandiers à se lancer dans un trafic de revente illégale. Des opérations conjointes entre les gendarmes et les douanes se sont d’ailleurs multipliées en 2023 pour enrayer le phénomène, à l’Hospitalet-près-l’Andorre, plaque tournante du trafic.

A lire aussi : REPORTAGE. Agricultrice tuée en Ariège : "Nous sommes anéantis"... vive émotion dans le village de la victime

Ces trois personnes, le conducteur du véhicule de 44 ans et deux femmes, sont inconnues de la justice. S’ils ont fait l’objet d’une procédure administrative sur la détention de tabac détaxé, celle-ci n’apparaît pas sur les fichiers de la justice pénale. Les enquêteurs poursuivent les auditions. Ils tentent de savoir quel était le motif exact de ce déplacement matinal alors que les gardes à vue peuvent durer jusqu’à jeudi matin.

Les trois occupants sont visés par une OQTF (obligation de quitter le territoire français) prononcée en 2022 et 2023. Une procédure qui a fait l’objet de différents recours de la part des intéressés.

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Dupond-Moretti a convoqué 3 figures du féminisme pour défendre l'IVG dans la Constitution - Le HuffPost

POLITIQUE - Elles n’étaient pas là, mais leurs voix ont résonné. À la tribune de l’Assemblée nationale ce mercredi 24 janvier, le Garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti s’en est remis aux mots d’Annie Ernaux, Simone de Beauvoir et Simone Veil, trois figures du féminisme français, pour défendre l’inscription dans la Constitution de la liberté d’avorter. Ce, alors que des voix continuent à s’élever contre.

C’est en citant le livre L’Évènement d’Annie Ernaux, prix Nobel de littérature en 2022, que le ministre de la Justice a commencé son discours. « Les filles comme moi gâchaient la journée des médecins. Elles les obligeaient à se rappeler la loi qui pouvait les envoyer en prison et leur interdire d’exercer pour toujours » a commencé Éric Dupond-Moretti, lisant un extrait de ce récit autobiographique où l’autrice évoque son avortement clandestin dans les années 60, comme le montre notre vidéo ci-dessus.

« Ces mots pourraient être ceux (...) de toutes les femmes qui ont vécu dans leur chair l’interdiction de l’avortement. Ce sentiment de ne pas pouvoir disposer de son corps. Ces mots et la souffrance qu’ils définissent nous obligent », a souligné le ministre avant d’évoquer les États-Unis où en 2022, une décision de la Cour Suprême a considérablement amoindri le droit à l’IVG.

Cet exemple « rend plus que jamais criant de vérité les mots de Simone de Beauvoir rapportés par Claudine Monteil. “N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis, vous devrez rester vigilants votre vie durant” », a poursuivi le ministre.

« Je ne suis pas de ceux, de celles, qui redoutent l’avenir »

Défendue par les parlementaires de la majorité comme ceux de gauche, l’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution a une première fois été votée par l’Assemblée nationale. Le projet a ensuite été repris par la présidence de la République afin d’accélérer le processus via un vote du Congrès.

Plébiscité par les Français, il se heurte cependant aux réticences de la droite. Le président du Sénat Gérard Larcher a redit la veille son opposition à la constitutionnalisation de ce droit fondamental, estimant que « l’IVG n’est pas menacée dans notre pays ».

Ce à quoi Éric Dupond-Moretti a indirectement répondu, en citant celle qui a fait inscrire dans la loi le droit à l’avortement, Simone Veil. Le Garde des Sceaux a plus particulièrement cité le discours de la ministre de la Santé alors qu’elle se trouvait à la même place le 26 novembre 1974. Face à des députés partagés, elle déclarait : « Mesdames, messieurs les députés, je ne suis pas de ceux, de celles, qui redoutent l’avenir ».

« Presque 50 ans après la légalisation de l’avortement, j’aimerais tant vous dire que moi non plus, je ne redoute pas l’avenir (...) et les incertitudes qu’il charrie parfois » a déclaré Éric Dupond-Moretti. Mais « qui peut aujourd’hui garantir que ce qui s’est produit outre-Atlantique ne pourrait pas se produire en France ? Le pire n’est jamais certain, le meilleur non plus », a ajouté le ministre, justifiant ainsi la nécessité de graver dans le marbre l’IVG.

Éric Dupond-Moretti veut rassurer Gérard Larcher

Par la suite, il s’est directement adressé au sénateur des Yvelines. « J’ai entendu aussi la crainte du président Gérard Larcher que la Constitution ne devienne “un catalogue de droits sociaux et sociétaux”. Je partage sa crainte », a affirmé le ministre. « Oui, la Constitution doit demeurer (...) le recueil de nos libertés fondamentales. La liberté de recourir à l’IVG y a toute sa place », a-t-il poursuivi.

Il a aussi tenu à « rassurer » les parlementaires échaudés par le calendrier prévu qui supposerait un passage sans modification du texte au Sénat. Car, pour réviser la Constitution, il faut que les deux chambres s’accordent sur un texte commun – ici la « liberté garantie » de recourir à l’IVG et non « le droit » comme l’avaient voté les députés – avant qu’un Congrès les réunissant l’adopte à une majorité qualifiée de 3/5e des voix.

Or, le gouvernement s’était empressé mi-décembre de proposer un Congrès à Versailles le 5 mars, heurtant certains parlementaires, notamment au Sénat, où la droite y a vu une pression pour qu’elle se range à la formulation proposée par le gouvernement. « Nous prendrons le temps qu’il faut pour aller au bout de cette révision », a insisté Éric Dupond-Moretti, répétant que cette dernière ne créerait pas de « droit absolu et sans limite ».

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mardi 23 janvier 2024

En direct, colère des agriculteurs : le point sur les manifestations en cours ; une agricultrice tuée dans un accident dans l'Ariège - Le Monde

La hausse de la taxation du GNR, facteur de mécontentement des agriculteurs

La hausse prévue de la taxation du gazole non routier (GNR) alimente en particulier la colère des agriculteurs. Le GNR est similaire au gazole livré dans les stations-service, mais il est destiné aux véhicules non routiers, principalement les tracteurs agricoles et forestiers et les engins de travaux publics (bulldozers, pelleteuses, chasse-neige), explique à l’Agence France-Presse (AFP) Olivier Gantois, président du groupement français des distributeurs de pétrole (UFIP).

Bénéficiant d’une fiscalité spécifique, il est coloré en rouge afin de garantir qu’il n’est utilisé que par les professions agréées. Selon l’UFIP, les livraisons de GNR se sont élevées en 2023 à 5,26 millions de mètres cubes. Les agriculteurs se font généralement livrer le GNR à domicile, dans une cuve, dit à l’AFP Sophie Lenaerts de la Coordination rurale, deuxième syndicat agricole en France. Ils ne peuvent l’utiliser que pour leurs engins agricoles, y compris pour leur véhicule personnel.

Le GNR bénéficie d’une fiscalité allégée par rapport aux carburants achetés par les automobilistes ou les routiers. Les agriculteurs obtiennent en plus un remboursement partiel de la taxe intérieure sur les produits énergétiques (TICPE) pour l’achat de GNR. Ils doivent pour cela faire une déclaration auprès de l’administration, accompagnée des factures, explique Sophie Lenaerts. En 2024, le GNR est taxé 24,81 centimes d’euro par litre, souligne Olivier Gantois. Mais les agriculteurs peuvent récupérer jusqu’à 18,1 centimes, et paient donc dans les faits 6,71 centimes de taxe par litre. C’est toutefois presque 3 centimes de plus qu’en 2023 (3,86 centimes d’euro).

Pour inciter à consommer moins d’énergies fossiles, le gouvernement a décidé de supprimer progressivement la détaxe sur le GNR dont bénéficient les agriculteurs. Des négociations menées en juin par la FNSEA ont permis de conserver une partie de cet avantage, d’étaler sa baisse sur plusieurs années, jusqu’en 2030, et d’obtenir des compensations ; les recettes supplémentaires récupérées devraient notamment servir à financer la transition écologique des agriculteurs. La hausse de la taxe reste malgré tout une source de mécontentement parmi de nombreux agriculteurs, la Coordination rurale continuant par exemple de s’opposer catégoriquement à la remise en cause de cette niche fiscale.

Lundi, après une entrevue avec le premier ministre, Arnaud Rousseau a évoqué la possibilité qu’au lieu d’avoir à demander le remboursement, les agriculteurs puissent bénéficier d’une remise « immédiatement ». « Près de 35 % des agriculteurs ne demandent pas ce remboursement qui leur est dû », a-t-il affirmé. Avoir la remise dès la facture, « ça, c’est simple, il n’y a pas de papiers à faire », a-t-il relevé mardi en prenant cet exemple comme une des simplifications administratives attendues.

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Gérard Larcher ne souhaite pas l'inscription de l'IVG dans la Constitution car "ce n'est pas un catalogue de droits sociaux et sociétaux" - franceinfo

Le président du Sénat entend "préserver" un "principe de la loi Veil : d'abord le droit des femmes, et ensuite, après un certain délai, le droit de l'enfant à naître".

Radio France

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Le président du Sénat, Gérard Larcher, le 23 janvier 2024 sur franceinfo. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)

Le président Les Républicains du Sénat, Gérard Larcher, invité mardi 23 janvier sur franceinfo, ne souhaite pas que le droit à l'interruption volontaire de grossesse soit inscrit dans la Constitution. "Non, car je ne pense pas que l'IVG soit menacé dans notre pays", a-t-il justifié. L'examen du projet de loi qui doit mener à l'inscription de l'IVG dans l'inscription débutera mercredi.

Il précise que, pour lui, "la Constitution n'est pas un catalogue de droits sociaux et sociétaux" et qu'"il y a déjà un certain nombre de décisions du Conseil constitutionnel" qui garantissent l'IVG. "Si l'IVG était menacée, croyez-moi, je me battrais pour qu'elle soit maintenue."

"J'ai toujours été très favorable à l'IVG et la première de mes préoccupations, c'est les conditions dans lesquelles on pratique l'interruption volontaire de grossesse", a affirmé le président du Sénat. "On a fermé, en plus de dix ans, 130 centres qui se consacraient à ça". Pour lui, sur l'IVG, "le premier des sujets, c'est la très mauvaise réponse que nous donnons à ces femmes qui, à un moment, font le choix" de l'IVG, et qui "a d'ailleurs amené à allonger les délais".

Gérard Larcher justifie également sa position par le respect d'un "principe de la loi Veil, notamment sur les délais de l'IVG : c'est d'abord le droit des femmes qui est préservé, et ensuite, après un certain délai, c'est le droit de l'enfant et le droit de l'enfant à naître. C'est cet équilibre-là qu'il ne faudrait pas bouleverser."

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Disparition de Lina : Sa plainte pour viol en réunion, classée sans suite il y a plus d’un an, réétudiée - 20 Minutes

Saint-Blaise-la-Roche, village du Bas-Rhin, où a disparu l'adolescente de 15 ans Lina samedi, le 23 septembre 2023. — CHRISTINE BIAU/SIPA

Dans le peu d’information qui filtre de l’enquête concernant la disparition de Lina, 15 ans, qui s’est volatilisée il y a quatre mois jour pour jour dans le Bas-Rhin, le parquet de Saverne a annoncé avoir procédé à une « nouvelle étude juridique » de la plainte déposée par l'adolescente en juin 2022. Une plainte pour viol déposée un an avant sa disparition, qui n’a jusqu’ici pas donné lieu à des poursuites.

Un an et demi avant sa disparition à Saint-Blaise-la-Roche, le 23 septembre dernier, Lina avait accusé deux jeunes majeurs de l’avoir violée. Lina, alors âgée de 13 ans, avait porté plainte en juin 2022 pour des faits qualifiés de « viol en réunion ». « Cette plainte avait donné lieu à une enquête à l’issue de laquelle une première analyse juridique a été effectuée. Celle-ci n’avait pas permis de suffisamment caractériser les faits », indique la procureure de Saverne, Aline Clérot.

La mère de Lina « stupéfaite »

Selon le quotidien Dernières Nouvelles d’Alsace, deux hommes majeurs ont reconnu des relations sexuelles, tout en affirmant qu’il s’agissait de rapports consentis. Cependant, « dès l’ouverture de l’enquête en disparition inquiétante de Lina, ces informations ont été immédiatement communiquées et exploitées par les enquêteurs », poursuit la magistrate. Par ailleurs, « une nouvelle étude juridique de la procédure a été effectuée » et « donnera lieu à une décision dans les prochaines semaines », ajoute la procureure. Pour rappel, la disparition fait l’objet d’une enquête, ouverte par le parquet de Saverne et désormais menée par une juge d’instruction de Strasbourg.

Une annonce qui laisse amère la mère de la jeune fille, qui se dit, rapporte son avocat Maître Matthieu Airoldi, « stupéfaite d’apprendre ce revirement du parquet et s’étonne qu’il ait fallu attendre que Lina fasse l’objet d’un enlèvement pour que la décision initiale de classement sans suite soit revue ». « Elle regrette amèrement que toutes ces informations lui aient été communiquées par voie de presse, et non par le parquet de Saverne directement, d’autant plus qu’elle a eu un certain nombre de contacts avec les gendarmes, auprès de qui elle a évoqué cette plainte, sans qu’on ne la tienne informée », a-t-il ajouté. « Cela la laisse songeuse sur la qualité du travail et l’attention portée à une plainte d’une jeune fille de 13 ans, âge auquel le consentement ne peut pas se démontrer. »

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lundi 22 janvier 2024

Ces Femen ont perturbé une manifestation des anti-IVG contre la loi sur la fin de vie - Le HuffPost

Des manifestants de la marche pour la vie à Paris le 21 janvier 2024.
KIRAN RIDLEY / AFP Des manifestants de la marche pour la vie à Paris le 21 janvier 2024.

KIRAN RIDLEY / AFP

Des manifestants de la marche pour la vie à Paris le 21 janvier 2024.

AVORTEMENT - « L’IVG, c’est sacré. » Plusieurs Femen ont infiltré ce dimanche 21 janvier la manifestation annuelle des anti-avortement à Paris dite « marche pour la vie », afin de réaffirmer le droit des femmes à avoir accès à l’interruption volontaire de grossesse.

Torses nus, lettres noires écrites dans le dos et sur la poitrine, un mégaphone et une bannière, les quatre Femen ont voulu faire passer leurs messages tels que : « mon corps, mes droits », « l’IVG c’est sacré », « louée soit l’IVG constitutionnalisée », « marche de l’enfer annulée ».

Sur leur compte X (ex-Twitter), des vidéos ont été postées montrant leur préparation puis leur arrivée dans le cortège. On peut voir les militantes débarquer avec leur banderole le poing levé. Elles sont vite interrompues par les manifestants pro-vie qui leur arrachent la banderole des mains, puis elles sont arrêtées par les forces de l’ordre.

234 000 IVG en 2022

« Nous n’avons depuis (leur interpellation) aucune nouvelle. La police est plus prompte à embarquer celles qui défendent le droit à avorter que celles et ceux qui marchent contre », ont dénoncé les Femen sur leur comtpe X.

La « marche pour la vie » est organisée chaque année à la date anniversaire de la promulgation de la loi Veil, qui a rendue légale l’IVG le 17 janvier 1975. Ce dimanche, les participants - 15 000 selon les organisateurs, 6 000 selon la police - dénonçaient l’inscription de l’IVG dans la Constitution mais aussi la future loi sur la fin de vie.

Selon les derniers chiffres officiels, 234 300 IVG ont été enregistrées en France en 2022.

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dimanche 21 janvier 2024

Agriculture : Marc Fesneau reporte son projet de loi de «quelques semaines», sur fond de mouvement de colère - Le Figaro

Invité du «Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Paris Première» dimanche, le ministre de l’Agriculture a refusé toute comparaison entre les manifestations actuelles et la crise des «gilets jaunes» il y a cinq ans.

Cinq ans après la crise des «gilets jaunes», dont le traumatisme reste vif au sommet de l'État, Emmanuel Macron a demandé aux préfets de se rendre ce week-end auprès des manifestants pour tenter de contenir la grogne et éviter que la protestation ne s'inscrive dans la durée.

Refusant de «comparer» la situation actuelle avec la grande jacquerie de 2018, Marc Fesneau a balayé tout «amalgame» et affirmé qu'il n'y «avait pas du tout (...) de panique» au sein de l'exécutif. «Le chef de l'État nous a demandé collectivement de nous mobiliser pour percevoir ce qui est cette crise et d'essayer d'y répondre», a sobrement résumé le ministre de l’Agriculture, appelant «tout le monde à ne pas rentrer dans la surenchère». Alors qu'il devait présenter ce 24 janvier en Conseil des ministres, son projet de loi sur «le renouvellement des générations en agriculture», Marc Fesneau a annoncé, lors du «Grand Jury» RTL-Le Figaro-M6-Paris Première ce dimanche, le report du texte «de quelques semaines».

En cause notamment, la colère des agriculteurs français qui ne faiblit pas depuis qu’ils ont rejoint le mouvement européen il y a quatre jours. Près de Toulouse, l’autoroute A64 reste ainsi bloquée par des manifestants, tandis que des locaux de la Direction régionale de l'environnement (DREAL) ont été soufflés par une explosion à Carcassonne. «Cela est insupportable, que le bâtiment soit vide ou non. Je ne trie pas dans la violence. La justice est saisie, j'espère qu'on trouvera les auteurs. (...) Je dénonce la violence d'où qu'elle vienne, elle ne peut pas être un moyen d'action», a réagi le ministre de l’Agriculture. Survenue dans la nuit de jeudi à vendredi, l’attaque - revendiquée par le «Comité d'action viticole» - a marqué un tournant dans la mobilisation.

Denormandie «serait utile à la majorité» pour les Européennes

Parmi les revendications des agriculteurs français se trouve notamment la dénonciation d’une concurrence venue d'autres pays européens, qu'ils jugent déloyale, ainsi que des normes environnementales trop contraignantes. En réponse, le gouvernement rappelle que «le budget de l’agriculture (...) est le budget qui augmente le plus». «On met des moyens auprès des agriculteurs pour les accompagner dans les transitions et pour améliorer leur compétitivité», vante le ministre. Alors que Gabriel Attal doit recevoir le principal syndicat agricole ce lundi, Marc Fesneau a appelé les organisations syndicales agricoles «à formuler des propositions», pour sortir de la crise.

En déplacement ce samedi dans une exploitation viticole du Médoc, Jordan Bardella a directement mis en cause l’Union européenne et le président de la République dans la crise. Conscient que, au-delà de l’opposition, les cortèges ciblent eux aussi Bruxelles et les directives qui émanent des Vingt-Sept, Marc Fesneau persiste à penser que l’Union est le bon échelon. «Il faut faire du sujet européen un sujet central parce que l'avenir de la France c'est l'Europe», soutient-il. Avant de laisser entendre que son prédécesseur au ministère de l’Agriculture, Julien Denormandie, pourrait justement conduire la liste macroniste aux européennes du 9 juin. Aujourd’hui en retrait de la vie politique, ce dernier incarne «quelque chose qui serait utile à la majorité». «Il a quelque chose qui est utile dans le débat public», glisse son successeur.

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Attentats de Trèbes en 2018 : une otage témoigne, « l'arme du terroriste tremblait sur ma tête » - Sud Ouest

Lorsque le terroriste fait de vous une otage, votre réflexe de survie sera d’abord celui de la soumission.

Quand [Radouane] Lakdim me découvre cachée sous un bureau, je l’entends dire « ben voilà mon otage, viens on appelle les flics ». Je le prends d’abord pour un petit con, paumé, nerveux. Jusqu’à ce que je comprenne qu’il s’agit d’un terroriste entraîné à tuer, et qu’il vient de le faire. Je baisse alors volontairement la tête, en ne regardant plus que le sol dans un premier temps. Ne pas paniquer, rester lucide au point d’éviter l’éventuelle...

Lorsque le terroriste fait de vous une otage, votre réflexe de survie sera d’abord celui de la soumission.

Quand [Radouane] Lakdim me découvre cachée sous un bureau, je l’entends dire « ben voilà mon otage, viens on appelle les flics ». Je le prends d’abord pour un petit con, paumé, nerveux. Jusqu’à ce que je comprenne qu’il s’agit d’un terroriste entraîné à tuer, et qu’il vient de le faire. Je baisse alors volontairement la tête, en ne regardant plus que le sol dans un premier temps. Ne pas paniquer, rester lucide au point d’éviter l’éventuelle ligne de mire d’un tireur d’élite. Ce huis clos durera une quarantaine de minutes au cours desquelles il me répète qu’il ne veut pas me faire de mal, juste mourir en martyr. Mais c’est plus vicieux que cela, il se sert de moi comme d’un bouclier, et s’en fout que je prenne une balle perdue.

Lorsqu’une première colonne de forces de l’ordre investit le magasin, pensez-vous d’ailleurs que votre heure est venue ?

Quand ces cinq hommes mettent Lakdim en joue, il pose le canon de son arme sur mon crâne et glisse un couteau au niveau de mes côtes. Il se met à trembler, son pistolet se met à trembler. Je sens que la balle va partir toute seule. Je pèse mes mots pour lui dire de ne pas me tuer sans faire exprès. Et soudain surgit ce gendarme qui, d’une voix claire et autoritaire, crie sur ses collègues « vos gueules, reculez, je prends ! », puis demande au terroriste de « relâcher la petite dame » tout en se désarmant.

Le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame est décédé le 24 mars 2018 des suites de ses blessures subies la veille, lors de l’attentat du Super U de Trèbes.
Le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame est décédé le 24 mars 2018 des suites de ses blessures subies la veille, lors de l’attentat du Super U de Trèbes.

Archives AFP PHOTO/« LA GAZETTE DE LA MANCHE »

« C’est dérisoire, mais aujourd’hui encore, je sors avec un canif dans la poche »
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Certains, notamment au sein de son institution, ont murmuré qu’en se sacrifiant ainsi, le colonel Beltrame avait été aussi insubordonné qu’imprudent.

Mais il ne s’est pas sacrifié, il a pris le risque de le faire, comme les vrais militaires ont ça bien ancrés en eux. Vu la tournure des évènements et le niveau de tension, c’était d’ailleurs la seule façon de me sauver la vie. Certains auront en effet des mots très durs, même auprès de moi, pour qualifier son choix. Mais j’insiste sur le fait que la manière dont il est entré en négociations avec le terroriste était extrêmement professionnelle, et je reste persuadée qu’il pensait s’en sortir vivant.

Le jour de sa mort [le lendemain de l’attentat, NDLR], vous demandez à voir sa dépouille, tout en craignant de croiser ses proches.

Encore une fois, et au risque de choquer, je ne me suis jamais sentie coupable du risque qu’il a pris pour moi. Contrairement à ce que l’on a pu me faire dire, alors que je n’avais jamais pris la parole publiquement avant aujourd’hui (2). C’est mon père, médecin généraliste habitué à gérer des situations compliquées, qui m’a suggéré d’aller le voir sur son lit de mort. La meilleure idée qui soit. Douloureuse, mais comme le premier des nombreux hommages que j’allais lui rendre. Et pour moi, le début d’une forme de deuil.

Sa veuve finira par vous écrire. De belles choses, alors que vous redoutiez d’être à ses yeux la personne la plus détestable au monde ?

Dans sa lettre, Marielle m’a dit avec beaucoup de délicatesse que son mari n’avait fait que son devoir, conformément à ses valeurs. C’est très beau, et d’autant plus fort venu de sa part, alors même que je mettrai plusieurs mois à lui répondre. Mais j’ai fini par me faire un devoir de la rencontrer pour lui dire à quel point j’avais du respect pour son mari. Et surtout lui décrire son grand professionnalisme lors de son intervention.

Votre témoignage est un hommage, mais aussi un cri de colère. Contre certains avocats, la prise en charge des victimes, mais d’abord, contre les journalistes…

Les chaînes d’info, notamment, ne m’ont rien épargnée. Harcelant tout un village, faisant le siège de mon domicile au point que j’ai dû le quitter. Me cacher. Et finalement, sombrer peu à peu, pour des années. Je comprends que les journalistes et le public soient avides de ce genre de témoignages, mais les victimes en état de sidération ne sont pas toujours prêtes à être dignes, à trouver les bons mots.

Aujourd’hui, à 45 ans, et après une lente reconstruction, vous dîtes vous méfier encore « furieusement de tout le monde ». Ne serez-vous donc jamais en paix ?

Autant sur le coup, j’ai assuré, autant la peur m’a envahie petit à petit. Tous les matins, il me faut vaincre mes phobies pour emmener ma fille à l’école. Ne pas paniquer lorsque mon mari a cinq minutes de retard. Chaque déplacement dans l’espace public me fait imaginer le pire. Au point que je m’y prépare comme on va au combat. Chaussures de sport pour courir plus vite, canif dans la poche… C’est dérisoire, mais c’est ma stratégie de défense. Alors j’espère que le procès qui s’ouvre aujourd’hui [lundi 22 janvier, NDLR] permettra enfin à mon cerveau de me laisser tranquille.

(1) Julie Grand est un pseudonyme. (2) « Sa vie pour la mienne », Julie Grand, Éd. Artège, 16,90 €, 180 p., est sorti le 10 janvier 2024.

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vendredi 19 janvier 2024

Loi immigration : 110.000 étrangers pourraient basculer dans la grande pauvreté, selon une étude - CNEWS

D'après une étude, le durcissement de l’accès aux prestations sociales, inscrit dans le projet de loi immigration, pourrait toucher plus de 110.000 étrangers qui risqueraient de basculer dans la grande pauvreté.

Un texte aux mesures très brutales pour des milliers de personnes ? Alors que le Conseil constitutionnel doit se prononcer le 25 janvier prochain, quant à la validité de certains articles présents dans le projet de loi immigration, une étude a cherché à démonter que le principe de préférence nationale pourrait plonger un grand nombre de gens dans la précarité.

En effet, le collectif militant d’agents de l’État a mesuré l’impact du durcissement de l’accès aux prestations sociales, prévu par le texte, sous l’impulsion de la droite sénatoriale.

Ainsi, le conditionnement des allocations familiales ou encore de l’allocation personnalisée d’autonomie pour les étrangers non-Européens à une durée de présence sur le territoire d’au moins 5 ans ou d’une durée d’activité professionnelle minimale, impacterait la vie «d’au moins 110.000 personnes, dont 30.000 enfants». Ces derniers tomberaient ainsi dans la grande pauvreté.

Jusqu’à 700.000 personnes touchées

Dans l'«hypothèse maximale», intégrant des familles monoparentales ou des couples dont l'un des conjoints serait français, 700.000 personnes pourraient même être concernées.

Pour Serge Slama, professeur de droit public à l'université Grenoble-Alpes qui a coordonné le travail d'une coalition de juristes, universitaires et responsables associatifs qui ont adressé une salve de contributions extérieures au Conseil constitutionnel, il est «presque sûr» que les Sages «vont enterrer» ces mesures qui introduisent une discrimination «contraire à la Constitution».

Emmanuel Macron a, quant à lui, indiqué mardi, lors de sa conférence de presse, qu’il se rangerait derrière la décision du Conseil constitutionnel, qu’il a lui-même saisi.

Au-delà du bilan comptable, de nombreuses associations, ONG, syndicats et une partie de la gauche dénoncent depuis l'adoption du texte une bascule «morale» du gouvernement, accusé d'avaliser avec cette loi les thèses de l'extrême droite.

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jeudi 18 janvier 2024

«Du coup, on ne pourra passer que six mois auprès de son bébé ?» : le futur congé de naissance, raccourci, déconcerte les mères - Le Figaro

Les pères auront le droit au même temps de congé de naissance que les mères. pololia - stock.adobe.com

TÉMOIGNAGES - La réforme, encore floue, annoncée par le président de la République ne permettra plus aux parents d’être rémunérés au-delà de six mois de congé parental.

Ce mercredi 17 janvier, la page Facebook «En congé pour nos bébés» bruisse de rumeurs inquiètes. «Vous savez à partir de quand il va l'appliquer svp ?» ; «c'est rétroactif ?» «je souhaitais un 3eme bébé, bah là, du coup je pense ne pas concrétiser ce projet», écrit Charline. Pas possible pour elle qui a déjà frôlé une dépression du post-partum d’être contrainte de revenir au travail six mois après un accouchement. La crainte de ces mères ? La réforme du congé parental, annoncée mardi par le président de la République lors d'une conférence de presse où il a affirmé la nécessité d'un «réarmement démographique» en raison d’une baisse inouïe de la natalité. Le congé parental qui peut permettre aux parents de suspendre ou réduire leur activité professionnelle jusqu'aux trois ans de leur enfant sera rebaptisé «congé de naissance« ; raccourci - six mois par parent, un an maximum - et mieux «rémunéré» que les chiches 429 euros/mois actuels. Une bonne nouvelle en théorie. Que la quinzaine…

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Loi immigration : le président des Républicains dénonce "un hold-up démocratique" du Conseil constitutionnel - franceinfo

>> Ce direct est désormais terminé. La droite gronde. Le président des Républicains Éric Ciotti a dénoncé vendredi 26 janvier "...